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Le Hobbit : la désolation de Smaug. La critique du film – Ciné Buzz

Le Hobbit : la désolation de Smaug. La critique du film

le hobbit - la désolation de Smaug

le hobbit - la désolation de Smaug
le hobbit – la désolation de Smaug

Un an presque jour pour jour, nous avions la joie de voir dans les salles obscure le premier opus du Hobbit : un voyage inattendu. Pour tout vous avouer, j’étais vraiment en attente de cette sortie, alors bien / pas bien ?

Le Hobbit : la désolation de Smaug – Synopsis

Les aventures de Bilbon Sacquet, paisible hobbit, qui sera entraîné, lui et une compagnie de Nains, par le magicien Gandalf pour récupérer le trésor détenu par le dragon Smaug. Au cours de ce périple, il mettra la main sur l’anneau de pouvoir que possédait Gollum…

Quand Peter Jackson interprète le Hobbit la désolation de Smaug…

Et oui ! On a bien une interprétation du Hobbit. Depuis mon article de l’année dernière, j’ai pris le temps de lire le dernier livre de Tolkien qui n’était pas passé sous mes yeux. Et bien que dire : je suis déçu. Déçu est peut être un mot un peu fort, mais on est loin, très loin, sur une autre galaxie, de la réalité du livre. Tout du moins durant la première heure, qui est longue, pénible et complètement hors sujet. Sur un film d’une durée de 2h45, le Hobbit la désolation de Smaug prend son envol au bout de cette première heure. Je passe sur l’histoire d’amour entre Tauriel (personnage tout nouvellement crée pour rendre hommage aux nombreuses fans des films et pour « fidéliser » la gente féminine) et un nain avec comme porteur de cierge Legolas (qui est plus méchant et haineux que jamais). Oui, j’y vais vraiment hard. Mais si je prends un œil tout autre, la présence de Legolas dans le film n’est pas du tout déconnante. Après tout, au moment des faits, il est vivant. A ce titre, peut-être même que Tolkien aurait voulu qu’il soit présent ! Quant à Tauriel, elle reste dans la lignée de la saga. En fait, cette première heure, dans le fond, élargie et enrichie avec merveille l’œuvre de Tolkien.

Ce que j’appelle la deuxième partie, les 1h45 restante, reprend là où on avait laissé le livre : 100% respecté avec bien entendu des adaptations comme par exemple la séparation du groupe de nains. Mais ce qui me faisait le plus peur, c’était comment Smaug allait être à l’écran. Vous savez, les dragons dans les films ont toujours souffert d’un manque de charisme et de réalisme. Ici, on a la crème de la crème niveau dragon. Enfin une bête qui a de la personnalité, du charisme et du charme. Car oui, un dragon charme pour mieux vous avoir. Smaug est donc LE dragon QUE j’attendais. A la fois malicieux et méchant, on assiste aux scènes les plus importantes du film et de loin les plus magnifiques après la descente en tonneau de la rivière. Voir Smaug jouer au chat et à la souris avec les nains et Bilbo : les scènes les plus emblématiques du genre que j’ai eu à ce jour l’occasion de voir.

Le Hobbit : la désolation de Smaug – le mot de la fin

Malgré les nombreux hors sujet par rapport à l’œuvre de Tolkien, on ne peut pas comparer le Hobbit au Seigneur des Anneaux (SDA) : d’une part, le SDA est une œuvre qui se déroule en 6 livre séparé en 3 tomes. D’autre part, le Hobbit est une histoire courte et continue, alors que le SDA se construit autour de ses 3 tomes (genre hypothèse, thèse et synthèse). Bref, même si on a l’impression que le Hobbit est une copie du SDA, c’est bien faux. Peter Jackson nous livre ici une très belle continuité de l’histoire, agrémenté de nombreux parti pris. Et j’avoue que ces prises de risque payent car on s’y retrouve au final. Un film à voir sans attendre et à revoir en boucle tellement c’est bon. Merci Peter Jackson, j’ai hâte de vivre le 3éme film en décembre 2014 !

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