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La voleuse de livres – critique du film – Ciné Buzz

La voleuse de livres – critique du film

la voleuse de livres - critique du film

la voleuse de livres - critique du film
la voleuse de livres – critique du film

La voleuse de livres : synopsis

Pendant la Seconde Guerre mondiale, la jeune Liesel est envoyée dans une famille d’adoption allemande. Là, elle apprend à lire, avec le soutien de ses nouveaux parents mais aussi avec Max, un réfugié juif qui vit caché dans la cave. Pour ces deux êtres broyés par la violence de l’époque, la lecture va devenir le plus beau des liens, et le plus puissant des moyens d’évasion…

La voleuse de livres : la dictature vue par une enfant

Dès les premières minutes de projection le ton est donné : il s’agit d’un drame dans lequel Madame la faucheuse fera son travail en y mettant tout son cœur… Elle nous tiendra d’ailleurs compagnie en tant que narratrice. En ces temps sombres on comprend sa forte occupation !

La mort fait partie intégrante de la vie de la jeune Liesel, interprétée par Sophie Nelisse, avec la perte de nombreux êtres chers. Après une période d’adaptation à sa nouvelle vie et une existence qui tend à la norme et au bonheur, la jeune fille est vite rattrapée par la montée du nazisme et sa propagande. L’incompréhension du système l’oblige à se battre afin de garder son jardin secret. Que ce soit avec ses camarades d’école ou avec les autorités, Liesel doit composer pour ne pas se faire prendre au piège.

La voleuse de livres : l’émotion permanente

De part la période historique choisie et l’atmosphère particulière qui y régnait, on est tout le temps dans l’expectative d’un événement tragique de plus. Une bombe va-t-elle tomber sur la maison ? Les secrets vont-ils être découverts par les autorités ? La conscription aura-t-elle raison des proches de la jeune fille ? C’est dans cet environnement complexe que s’impose Sophie Nélisse. Que ce soit dans les moments de joie ou de crainte, les émotions transmises sont intenses.

Aux côtés de la jeune Liesel Meminger évoluent des personnages qui ne déméritent pas. Max Vanderburg ( Ben Schnetzer) le nouveau membre de la famille, souffre en silence et revêt l’apparence d’un homme vacillant entre la vie et la mort. Pour l’épauler le couple Hubermann – Emily Watson et Geoffrey Rush – font tout pour paraître forts même si la douleur est omniprésente chez eux.

La voleuse de livres: Pour conclure

La Voleuse de Livres est un film prenant qui met en valeur le jeu des acteurs. Drame oblige, on ne peut pas dire que tout se finit bien dans cette histoire. Néanmoins on en garde un souvenir ému. Il est en effet rare de trouver des films montrant la vie mouvementée d’une petite bourgade allemande à cette époque. De plus, la version originale possède un petit accent germanique assez dépaysant !

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